Après Toscanini, Charles Munch et Léonard Bernstein, voici celui qui aurait pu devenir le « Karajan espagnol », sans sa disparition prématurée, alors qu’il avait dirigé les plus grands orchestres européens, tout en amenant le jeune Orchestre National d’Espagne à un très haut niveau. Son excellente discographie a le mérite d’inclure maints compositeurs espagnols.

Jean-Pierre Pister Agrégé d’histoire, il a enseigné en khâgne, à Nancy, comme Professeur de Chaire supérieure. Il s’intéresse particulièrement à l’histoire contemporaine, à la musicologie et au croisement de ces disciplines. En partenariat avec Le Cercle Lyrique de Metz